Des élèves Viamonde rencontrent l’Honorable Amanda Simard, une députée franchement exemplaire!
De gauche à droite : Sylvie A. Landry, présidente du Conseil scolaire Viamonde, Pascal Hogue, élève-conseiller, l'Honorable Amanda Simard, députée indépendante du comté de Glengarry-Prescott-Russell et Benoît Fabreguettes, vice-président du Club canadien de Toronto.
Toronto, 22 janvier 2019 – Le Conseil scolaire Viamonde est fier, par son partenariat exclusif, d’avoir permis au Club canadien de Toronto d’accueillir la députée indépendante, Amanda Simard, pour son premier déjeuner-entrevue de 2019. Plus d’une vingtaine d’élèves et d’autres représentants de Viamonde se sont joints aux dignitaires et invités de partout en Ontario pour assister à la conversation menée par l’animatrice Marjorie April.
C’est à Mme Sylvie A. Landry, présidente du Conseil, qu’est revenu l’honneur de présenter la députée provinciale indépendante et de souligner sa détermination et son courage devant les quelque 200 convives.
Fidèle à ses convictions, Amanda Simard a décidé de quitter le caucus conservateur à la suite du retrait du financement au projet de l’Université de l’Ontario français et de l’abolition du Commissariat aux services en français par le gouvernement Ford, en novembre 2018.
Elle est ainsi devenue un modèle de fierté et de mobilisation pour la jeunesse et l’ensemble de la communauté franco-ontarienne. Aujourd’hui, elle s’est entourée d’une équipe francophone qu’elle a elle-même recrutée et souhaite que son action inspire les jeunes.
Ainsi, les élèves présents ont pu rencontrer celle qu’ils considèrent comme une leader et un modèle d’engagement et de ténacité envers la promotion de la langue et de la culture francophones, des valeurs au cœur de l’enseignement Viamonde.
L’élève-conseiller Pascal Hogue, qui a eu le privilège d’être assis à la table d’honneur avec Madame Simard et l’ex-commissaire aux services en français, Me François Boileau, entre autres, a dit être inspiré par ces rencontres. « Ils sont de grands acteurs de la communauté franco-ontarienne. J’ai pu confirmer, en discutant avec eux, qu’elles sont des personnes de conviction qui n’ont pas peur de prendre position, pour faire respecter les principes qui leur tiennent à cœur. Je les respecte pour cela. », a-t-il affirmé.
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Source et renseignements :
Anaïs Latulippe
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